Si à la question “Que se passe-t-il le 5 septembre prochain à Oloron ?”, vous répondez que vous ne savez pas, on vous supprime de nos abonnés (je rigole, patron !). En revanche, si vous répondez glorieusement que ce jour-là, ce sera la 23ème Garburade d’Oloron, on vous offre un autre abonnement gratuit pour la personne de votre choix (je rigole, patron !).
Si vous osez nous demander ce que c’est que la garbure, on vous supprime à nouveau de nos abonnés (je rigole, patron !), mais si vous nous en offrez une recette originale, là, on vous offre… Ok patron, j’arrête.
Ce qu’il faut savoir…
N’empêche, ce n’est pas le moment de méconnaître la spécialité culinaire béarnaise qui est en train de largement dépasser les frontières de notre région.
Grâce à l’intérêt des médias (le JT de TF1, ou “Les carnets de Julie”), la garbure est en train de se faire un nom, une réputation.
Ce n’est pas Fernand Pon, président de l’association éponyme qui va s’en plaindre, même s’il continue de “veiller au camot”, pardon veiller au grain pour s’assurer que le succès continuera d’être au rendez-vous des demains garburés (amis de la poésie béarnaise, bonjour !).
Les projets ne manquent pas d’ici le 5 septembre 2015, le travail non plus. Deux intronisations de célébrités en vue (mais chuutttt, leur nom doit rester secret) à l’occasion de Rêves de Gosse à Pau, ce mois de mai.
Une participation à la soupe au pistou de Miramas (ils vont voir de quel oignon on se chauffe, nous !), le Téléthon, le Virades de l’Espoir, un recueil “Les Tables de la Garbure” pour référencer toutes les tables des restaurateurs où la dame garbure est présente, comptant cette année trois restos supplémentaires.
Enfin, enfin, la préparation de ce 23ème championnat du monde qui accueille chaque année plus de participants, et plus de convives.
Amis foie gras et jambon de Bayonne, attention, dame garbure débarque en force dans le monde de la gastronomie du Sud-Ouest…