Les 8 autres sont des variants anglais. Ces personnes ont été isolées et la recherche a été lancée sur les cas contacts.
Des travaux en laboratoire ont révélé que cette mutation semblait capable de diminuer la reconnaissance du virus par les anticorps.
D’après des chercheurs sud-africains, le variant repéré « est largement résistant aux anticorps neutralisants, provoqués en réponse à une infection par des souches en circulation précédemment ». Le risque de réinfection par ce variant serait « important ».