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Laulhère à Oloron

Le 10 Avr. 2014

Nouste béret part à la conquête du monde…

Sur cette belle terre gasconne, il n’est personne pour méconnaître le refrain de la chanson du « béret » ; même si aujourd’hui, c’est un couplet singulier que la société oloronaise Laulhère pourrait mettre à l’honneur : “Notre béret a fait le tour du monde /Tous les champions qui battent un record /L’on adopté sur la terre et sur l’onde/Car un béret, ça tient, coquin de sort !/ 
Malgré le vent et malgré le cyclone/ Il est solide et peut être qui sait ?/Alphonse treize aurait gardé son trône/S’il avait eu pour couronne un béret”.

En effet, le fabricant historique français, récemment mis à l’honneur dans l’émission du Grand Journal de Canal+ n’en finit pas de faire parler de ce « coquin » de béret. Désormais, c’est dans les aéroports que vous le trouverez !

En effet, grâce au référencement par « TheNuance group », leader du « Travel Retail » installé à Toulouse, le béret oloronais sera en vente dans 300 boutiques d’aéroport disséminées sur 19 pays du monde.

PL BERETLes aéroports désormais considérés comme « 6ème continent » font partie intégrante du voyage. Ils sont la première et dernière impression que le voyageur conserve d’un pays, souvent aussi l’endroit où s’effectuent les achats de souvenirs et de cadeaux.

Premier test, avec la présence dès ce mois d’avril, du béret « 100% » béarnais (et pas basque comme le prétendent les incultes) à l’Aéroport de Toulouse-Blagnac dans les boutiques « Spirit of Toulouse » et « Tentation ».

Un joli coup, en tout cas, pour les nouveaux dirigeants de l’entreprise Laulhère qui misent sur l’export et l’international. Allez on reprend : « Et ce béret, ce n’est pas de la gnognotte/Puisque dedans on a mis tout son coeur/ »…

Perchicot « le béret », 1931

Un commentaire au sujet de cet article

  1. Bonjour!
    je ne peux que souhaiter le meilleur a cette entreprise pour exporter son béret en dehors des frontières or, l’exportation de produits comme celui-ci ne se fait pas facilement, et tous les donnes doivent bien être étudier. On n’emballe pas des tonnes de bérets pour les vendre dans un pays étranger..il faut une étude du marché étranger pour bien ciblé les ventes..chose pas toujours évidentes.
    Aujourd’hui aucune entreprise française peut se permettre de faire des erreurs..c’est terrible ça.
    Cordialement,

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