Dès le 14 juillet, une journée était organisée avec marché de producteurs, concerts, restauration… et vue magique sur le feu d’artifice tiré depuis le château fort de Lourdes.

Dans ce nouveau contrat sont notamment prévus l’accueil des visiteurs, une nouvelle offre de service touristique et sportive, la promotion, la commercialisation… Également gérante de l’aéroport Tarbes-Lourdes-Pyrénées, Edeis souhaite donc mettre le site en lumière dès la descente d’avion.

Et en parlant de lumière, la croix du pic -permettant de le distinguer facilement des autres-, éteinte depuis des années car régulièrement frappée par la foudre, a pu retrouver en ce mois de juillet tout son éclat nocturne, grâce à un nouveau dispositif plus performant.

Côté attractions, de nombreuses animations devraient se concrétiser autour d’événements sportifs, des soirées à thème, et peut-être même la création d’un Festival du Jer. Elles seront proposées de façon à ce que chacun puisse profiter de son séjour, sans pour autant troubler les autres visiteurs.

Touristes, randonneurs pédestres, cyclistes, pèlerins, amoureux des grands espaces… tout le monde y trouvera sa place.

Ce désir de valorisation du site tombe « à pic », puisque l’aéroport Tarbes-Lourdes-Pyrénées enregistre une croissance considérable de ses usagers, notamment grâce au succès de la ligne Paris-Orly.

Edeis dispose de cinq ans pour redonner un coup d’éclat au Pic du Jer, de façon à atteindre l’objectif de dépassement de 100.000 visiteurs par an, stipulé dans le contrat, qui pourra se prolonger de neuf ans par la suite.

Avec la montée en funiculaire, toujours très appréciée, pour atteindre au sommet un spectacle inégalable sur la cité mariale et la ville de Tarbes au loin, le fort potentiel offert par les lieux devrait permettre de gagner le pari haut la main, et faire en sorte que le pic du Jer devienne un lieu de vie incontournable de la Vallée des Gaves.

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