Ok, d’accord, notre dernier article sur le sujet remonte à décembre 2016, oui, oui, oui… Et alors ? Est-ce une raison valable pour en avoir oublié le contenu ? C’est bien parce que c’est vous qu’on accepte de récapituler.
A l’époque donc, et sous l’impulsion de Cédric Carpenne, quadra très happy de Val de Gascogne, était né be Api autour de trois GIEE (groupement d’intérêt économique et environnemental) et la cooptation de huit administrateurs stagiaires qui devaient apporter du sang neuf au conseil d’administration.
Mais Api, c’est quoi ? De l’agriculture de précision intra parcellaire. Autrement dit une agriculture intelligente, une agriculture de précision. Où en est-on, un an et des tracteurs (brouettes, c’est pareil) plus tard ? Eh bien, tout le monde est content, pardon Api, puisque 36 coopératives ont rejoint l’initiative et 20 agriculteurs sont déjà à l’œuvre pour 3.000 hectares concernés.
En ce début d’année 2018, c’est autour du céréalier Sylvain Dupuy d’être Api. S’il a rejoint le réseau be Api, c’est parce qu’il croit beaucoup en l’agriculture de précision pour faire progresser les rendements, et améliorer la performance environnementale des exploitations.
Il témoigne : « D’après moi, be Api est une solution d’avenir qui me permettra de continuer à produire avec fierté. Je suis persuadé que les adhérents de la coopérative ont tout intérêt à s’engager dans ce type de démarche avec Val de Gascogne. »
Alors, tous Api, pardon tous Happy ! On vous prévient, à la prochaine interro super surprise, ISS, on vous demandera les noms…