Au total, ces deux commandes représenteraient la bagatelle de 35 milliards de dollars.
La dernière commande d’une telle ampleur remonte à 2019. C’est un signe intéressant de relance du secteur de l’aéronautique, alors que la pandémie n’a pas dit son dernier mot et limite encore considérablement le trafic aérien international.