La recette d’un endroit qui marche et qui pourrait faire école dans d’autres villes de France ? Facile.
Rendez-vous au bar à vins et cave, “Les passeurs de vins” et “Les contrebandiers” des Halles de Biarritz.
Pourquoi le succès est-il prévisible ?
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D’abord, parce que c’est une histoire d’amitié autant que de passions qui y prévaut. Ensuite, parce que les deux acolytes embarqués dans l’aventure ne sont pas tout à fait des inconnus du grand public.
D’un côté, Lionel Osmin, THE spécialiste des vins par excellence, négociant installé à Pau et passionné de vins du Sud-Ouest. Tout autant que commercialisant des vins espagnols.
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Quant à Imanol Harinordoquy, il n’est plus à présenter. Et pas seulement dans le domaine du rugby. Ici, c’est l’épicurien qui prime, celui qui côtoie allègrement les grands noms de la cuisine, de Christian Constant à Christian Etchebest. On est certains de ne pas avoir droit à un cauchemar en cuisine !
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Et chez Les Contrebandiers, on retrouvera la patte de Vivien Durand, le chef passé du LieuditVin d’Hendaye au Prince Noir de Lormont (nous en avions parlé dans un précédent numéro de PresseLib’).
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L’exigence de qualité, ce sont des produits de saison, frais, et issus du marché. Avec notamment une terrine des contrebandiers estampillée Louis Ospital d’Hasparren et préparée par monsieur Carlier, charcutier-traiteur des Halles.
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L’autre inévitable recette du succès, passe par les jours et heures d’ouverture : du sept jour sur sept, matin et soir, y compris le dimanche. Vive les contrebandiers et les passeurs de vin (avec modération, s’entend, bla bla bla).