C’est une de ces histoires de famille que nous aimons bien garder pour l’été indien, à raconter autour d’un barbecue, près de la piscine… Tiens, d’ailleurs, regardons de plus près le carrelage de notre piscine, il a été fabriqué chez Oyhamburu, à Saint-Palais.
Une société qui fête cette année ses cinquante ans, et qui a su s’adapter contre vents et marées aux aléas de la vie économique. Leur secret ? De famille, assurément. En 1968, tout débute avec un maçon, Jean-Louis Oyhamburu, qui construit maisons individuelles et bâtiments agricoles.
Puis il recrute un, et deux ouvriers par an, pour passer à la construction de bâtiments résidentiels et industriels, plus loin que Saint-Palais. En 1999, il est rejoint par Michèle, sa fille. Et depuis, ce n’est que l’histoire répète d’extensions, de l’activité chape, carrelage, faïences, ou terrassement et assainissement. En 2012, Jean-Louis laisse à Michèle les rênes de la société.
Aujourd’hui, sous sa férule, ils sont 70 employés pour trois sociétés : bâtiment, carrelage et travaux publics. Du Pays basque au Béarn et au Sud des Landes. Le bâtiment, c’est assurément leur métier, avec quatre objectifs permanents : le respect de la tradition, la transmission du savoir, l’innovation et la sécurité, le défi environnemental.
Et si vous cherchez un boulot sûr dans le bâtiment, allez donc faire un tour sur leur site, il y a toujours un recrutement en cours, métreur, carreleur, maçon… Oyhamburu, c’est du solide ! Joyeux demi-siècle, Oyhamburu.
Bravo,car ça n’est pas évident de rendre pérenne une entreprise,(surtout en famille).Félicitations! De plus quand il faut se faire la formation des employés,car les C.F.A ne sont souvent plus adaptés voir incompétents car ne récupèrent en partie que des jeunes qui cherchent une voie de garage.moins de 12% continueront le métier; les autres profiteront d’un CAP. Généreusement distribué, mais savent trés bien combien ils doivent être payés. Faut arrêter ce gâchis.dans le bât et TP. Il faut aimer créer, innover,pour ça il faut aimer son métier.