Le profane, le néophyte et le petit festayre de pacotille sont loin de l’imaginer, mais les Fêtes de Bayonne, c’est une organisation absolument incroyable. Et sans tomber dans une vilaine trivialité, cela représente un budget de la bagatelle d’un million d’euros.
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À proprement parler, certes, mais aussi avec tous les épiphénomènes économiques liés, comme l’activité des commerçants, cafetiers, restaurateurs, associations ainsi que la sécurité, la logistique, la présence plus ou moins dense des touristes.
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Sans parler de la concurrence des fêtes de Pampelune, de la Madeleine à Mont-de-Marsan, ou de celles de Dax, il ne faut pas que tout cela se chevauche, et laisser le temps au festayre de récupérer de ses libations alcoolisées, voyons !
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Et…
Plus sérieusement, le sujet préoccupe la municipalité de Bayonne et l’oblige à voir loin, très loin, et à maîtriser la conjugaison au futur du verbe “anticiper”.
Du coup, la commission extra-municipale organisatrice des fêtes a d’ores et déjà bloqué les dates des trois prochaines éditions.
Vous ne lisez pas de travers, vous n’avez pas abusé de kalimutxo, on ne vous prend pas pour des jambons : on sait jusqu’en 2017 à quelle date se tiendront les fêtes les plus célèbres qui soient.
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Donc, cher festayre attentif, attrapez vos agendas ès festivités du Sud-Ouest et cochez soigneusement, en priant pour que le bon Roi Léon vous prête vie d’ici là afin d’assister à l’événement bayonnais par excellence :
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En 2015, les Fêtes de Bayonne auront lieu du 29 juillet au 2 août,
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En 2016, ce sera du 27 au 31 juillet,
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En 2017, du 26 au 30 juillet.
Hips. Notez qu’il y en a bien pour déjà prévoir le résultat des élections présidentielles de 2017, alors que les Fêtes de Bayonne, c’est tout de même autrement important, non ? Ah Léon, Léon, Léon, roi de Bayonne, roi des couillons…
libations alcoolisées. voilà le fin mot de l’histoire. l’ivresse sur la voie publique n’est elle pas répréhensible ? il me semble que oui. ne peut on s’amuser sans boire ? il me semble que oui également. celà pourrait éviter les nombreux débordements qui coutent à la société.