Prenez ensuite une société montpelliéraine, spécialisée dans le “cleantech” qui développe une nouvelle génération de procédés industriels fondés sur l’exploitation de Déinocoques (bactéries aux potentiels encore non développés).

Il s’agit ici de Deinove qui s’est spécialisée justement dans ces fameux Déinocoques.

Secouez, secouez, ou plutôt signez un contrat de collaboration entre les deux sociétés, sur une durée de 36 mois, et vous obtiendrez un procédé qui permettra de digérer et transformer les résidus agricoles en éthanol à coût compétitif.

Mieux encore, si au terme de la collaboration, la performance s’avère satisfaisante, elle sera proposée dans des usines à taille réelle. Une évolution dont on imagine sans mal les bienfaits, permettant de transformer les déchets agricoles en bio énergie.

Rien ne se perd, tout se transforme. Un adage qui n’a jamais été autant d’actualité, semble-t-il.