SINGLE CREATEUR

Philippe Lartigue

Le 28 Mar. 2016

Les Tissages, basés en Haut-Béarn, s’étendent aussi vers la Côte basque

Il y a plus d’un siècle, en 1910, Calixte et Anastasie Lartigue créaient un atelier de tissage de toiles à espadrilles à Oloron-Sainte-Marie.

Quatre générations plus tard, la famille est toujours aux commandes de l’entreprise, quoique la production qui se fait toujours à Bidos se soit aussi déplacée vers le Pays basque, à Ascain.

Ce qu’il faut savoir…


PHILIPPE LARTIGUEAu fil des ans, à la place de toile pour espadrilles, la société a élargi sa palette, en réalisant nappes, serviettes, tabliers, rideaux, sacs. Autant de produits que l’on peut désormais se procurer à Biarritz.

C’est au 8 avenue Edouard VII, donc face au Casino, dans le « triangle d’or » biarrot que Philippe Lartigue vient d’inaugurer sa première boutique hors manufactures. Une zone connue pour ses commerces de prestige et ses clients réputés peu regardants à la dépense.


LARTIGUE 6Car des occasions de dépenser, il y en aura. À commencer par les nappes, prêtes à poser ou sur mesure, qui portent des noms chantants, Arantxa, Amelia, Elaia, Idoia, ou les chemins de table, les sets, panières à pain, serviettes de table, pochettes range serviettes, coussins, et même trousse à maquillage et porte-clefs !


LARTIGUE 2Sans oublier les toiles en coton, en métisse coton/lin, enduites ou à transat, aux rayures traditionnelles basques ou bayadères, commercialisées sur mesure. Nous en avons répertorié une cinquantaine, toutes plus originale les unes que les autres.

Manifestement, la créativité, ça fonctionne à plein rendement chez Lartigue, les Biarrots et ses touristes vont avoir l’occasion de le découvrir !


 

Un commentaire au sujet de cet article

  1. Bonjour

    Bravo à Monsieur Lartigue pour cette réussite !
    C’est dommage que son travail ne serve pas à mettre en valeur son territoire Bearnais ( marketing & story tel long basque à profusion et très rarement Bearnais )… au profit une fois de plus de celui du voisin qui n’a pas investir dans la recherche et l’innovation etc ; les Bearnais le font pour eux …comme pour le Beret, le jambon ( consortium du jambon d’Arzacq ).
    Cette attitude pragmatique et entrepreneuriale peut se comprendre sur le court terme mais conduit inexorablement à une certaine “paupérisation “des idées et des réalisations sociales et économiques en Bearn cela déjà depuis un bon bout de temps à moins que la section puisse redonner un certain “arsec” pour que les entreprises puissent se regrouper sous une même bannière et même projet mais personne ne réagit chez nos élus …ou trop peu.

    Cordialement,
    Un entrepreneur

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