« L’Université permet un système ouvert et de proximité et le taux d’insertion de nos diplômés est excellent » souligne le président del’Université de Pau et des Pays de l’Adour. Originaire d’Algérie, il fait ses études de mathématiques à Paris et concourt en 1996 pour un poste de professeur en mathématiques à Pau « attiré, entre autres, par les partenariats noués avec le milieu socioéconomique ». Il est également chercheur ce qui ne l’a pas empêché de passer pendant 10 ans par la case industrie dans l’énergie : « chercher donne une grande liberté qui allie la joie de trouver à celle de voir que l’on n’a jamais fini ! Cela dit, les  mathématiques ont aussi des applications concrètes ».
En découle le souhait de répondre aux défis posés par la globalisation : s’ouvrir aux langues par le trilinguisme des formations (anglais et espagnol), introduire de nouvelles méthodes d’apprentissage des connaissances, s’ouvrir à la formation tout au long de la vie « y compris grâce à l’utilisation des nouvelles technologies et l’enseignement à distance », développer l’ouverture à des universités étrangères. Et si son premier souci est de consolider le positionnement de l’UPPA par rapport à Bordeaux, arrive tout de suite après le développement des relations transfrontalières « stratégiques pour notre Université ».

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