L’entreprise familiale Laporte-Hauret (Nay), créée en 1970, s’est rapprochée de la société Caillabet (Pontacq) pour donner naissance au groupe Caralliance en 2012.

Le groupe s’est fait une solide réputation dans les transports scolaires et périscolaires, dans les excursions touristiques et dans les voyages organisés par les comités d’entreprise, dans les déplacements en car des sportifs, etc. Il assure aussi la gestion de réseaux urbains d’autobus comme à Lourdes.

En temps normal, les bus de Caralliance desservent 65 écoles, collèges et lycées. « Nous sommes fortement impactés par la situation actuelle : parmi toute notre flotte, seulement 3 cars sont en circulation, et bien sûr en service réduit : 2 à Lourdes et 1 à Pontacq. Nos centres techniques fonctionnent également en effectif réduit, avec un seul employé par centre au lieu de deux ou trois » note Didier Laporte.

Lorsque PresseLib’ l’a contacté pour lui présenter la démarche, le dirigeant de Caralliance a tout de suite répondu présent. « C’est une démarche très intéressante, car actuellement, la pérennité de nombreuses entreprises est remise en question. Tout le monde est dans le même bateau et il faut se soutenir ».

De par son important passé de syndicaliste entrepreneurial (il est aussi président de la CCI Pau Béarn Pyrénées), « hérité de mon père », d’après Didier Laporte, le dirigeant de Caralliance possède la fibre de l’intérêt général.

En intégrant la démarche Entrepreneurs Solidaires, il compte aider à sa manière les entrepreneurs qui le souhaitent, en leur apportant un regard extérieur et les conseillant.

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Pour rappel, Entrepreneurs Solidaires s’est donné pour objectif de mobiliser des chefs d’entreprise expérimentés pour épauler bénévolement des dirigeants moins aguerris fortement impactés par le confinement et sous la menace de la crise économique qui suivra.

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