Neuf métropoles ont ainsi été labellisées pour participer à cette démarche qui veut faire de la France un vaste accélérateur de startups.
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Elles doivent constituer un réseau de quelques écosystèmes attractifs, concentrant tous les ingrédients (culture entrepreneuriale, talents, maitrise technologique, financement, etc.) répondant aux besoins des startups françaises, des investisseurs et des talents étrangers.
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Ce qu’il faut savoir…
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En plus de Bordeaux et Toulouse, les autres métropoles labellisées sont Aix-Marseille, Grenoble, Lille, Lyon, Nantes, Montpellier et Rennes.
Une enveloppe de 200 millions d’euros a été débloquée par le gouvernement afin de financer les différents projets portés par les entrepreneurs locaux.
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Du côté de Bordeaux, le label vient récompenser différentes initiatives déjà dans les tuyaux comme la future Cité numérique (plan ci-contre), le Centre aquitain des technologies informatiques et électroniques (Catie), les Bassins digitaux ou encore Ambition croissance numérique.
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A Toulouse, plusieurs projets devraient être présentés dans les prochains jours. Un laboratoire des usages est notamment mis en place pour développer des expérimentations sur le territoire.
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Dans le Grand Sud-Ouest, on considère que le numérique est déjà dans les quatre premiers secteurs d’activité, avec plusieurs dizaines de milliers d’emplois. Et surtout, plus d’un millier d’entreprises ont été crées dans la filière numérique.
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Informations sur le site Internet de la French Tech.
Et nous ? Est-ce que ce sera réservé à Bordeaux et Toulouse ?
Un exemple de plus de la nécessité d’unir les Pays de l’Adour pour exister face à ces deux métropoles qui n’attendent pas après nous