Le nom officiel n’est pas encore parfaitement défini. Faudra-t-il plutôt évoquer la Corniche basque ? La Corniche d’Hendaye ? La Corniche d’Urrugne ? Mais finalement, cela relève du détail, car le site, lui, est parfaitement défini ou plus exactement parfaitement redéfini. Et s’est doté de sa maison pour valoriser son patrimoine.
Ce qu’il faut savoir…
Il y a l’incontournable Château d’Abbadia, évidemment. Si vous ne le connaissez pas encore, la pause s’impose, et la bâtisse chère à Antoine d’Abbadie, construite par Viollet-le-Duc, vous révèlera peut-être quelques-uns de ses mystères et de ses secrets.
Mais ce n’est pas tout. Dès le 16 octobre, s’ouvrira à la visite la ferme Asporotsttipi (il vous faut bien jusque-là pour vous entraîner à dire son nom sans l’écorcher).
Devenue après bien des aménagements la nouvelle vitrine des richesses patrimoniales de la Corniche. Scolaires et grand public pourront y assister à des conférences, y admirer des expositions, le tout gratuitement.
Car il y a quelques années encore, vous ne connaissiez pas Asporotsttipi. Non, vous, ce qui vous parlait, c’était Le Boléro, l’ancienne boîte de nuit où nombre d’entre nous ont jadis allégrement flir… enfin dansé.
Le lieu, rénové, devrait bientôt accueillir le public, mais pas pour flir… danser, plutôt dans une vision beaucoup plus “patrimoniale” du lieu. Un fonctionnement général qui fait consensus puisque le Conservatoire du littoral achète et ensuite la commune gère et entretient.
Tout cela est tombé à point nommé pour célébrer la 10ème édition de la Fête de la Corniche en cette fin septembre. Une petite synergie d’événements, d’envies, d’actions, ça ne peut que donner du bon… Oui alors, où en étions-nous ? Tu ne te souviens pas, le Boléro ? Il y a pourtant cette fois où nous étions arrivés tôt et ce garçon, là, qui n’arrêtait pas de…