Adieu les cliniques désuètes de Bayonne, celles de Paulmy, Lafourcade, Saint-Etienne, Lafargue, zou…
Remplacées par un seul centre ultra moderne sous égide du groupe Capio, appelé à devenir une référence en Aquitaine et bien au-delà.
Le nom retenu pour l’établissement n’est pas une surprise, puisque la clinique s’appelle Belharra. Comme la célèbre vague qui fait la réputation du Pays basque à l’international et fait frémir les plus grands surfeurs.
Ce qu’il faut savoir…
Mais ici pas question de se noyer, plutôt de déferler avec ambition et modernisme. Après un vaste chantier, Belharra se dresse, au delta formé par l’Adour, Saint-Pierre-d’Irube et le château d’eau du Prissé.
Dès ce mois d’août dans ses 30.000 m2 de bâtiments, la clinique propose 255 lits, 18 salles opératoires (dont un robotisé et un consacré à la radiologie interventionnelle) et accueillera 50.000 patients à l’année.
Les déménagements des 3 cliniques sont terminés.
Ce sont aussi 250 personnels de santé et un total de quelque 950 salariés. Le tout développera un chiffre d’affaires estimé à 60 millions d’euros pour 80 millions d’euros d’investissement.
Centrée sur la qualité de prise en charge du patient et son confort, Belharra bénéficie d’aménagements architecturaux et de modes d’organisation d’avant-garde, permettant aussi de recevoir les dernières innovations.
Ainsi, toutes les chambres sont dotées d’accès aux nouvelles technologies et l’environnement a été pensé pour qu’elles ressemblent davantage à celles d’un hôtel qu’à celles d’une clinique.
Entre le Centre Hospitalier de Saint-Léon, et la clinique Belharra, en tout cas, on sait à quel saint médical se vouer dans la région, avec une offre de choix, tant pour les Pyrénées-Atlantiques que pour le Sud des Landes. Plus besoin de toujours courir à Bordeaux ou à Toulouse.
Bayonne, bientôt capitale du chocolat et de la santé ?
Vaste chantier que celui de la santé dans la région. Capio met visiblement le paquet. Tant mieux !
Enfin un établissement à la hauteur du Pays basque.
Bonne chose que cette volonté d’améliorer le confort des malades. C’est tellement important pour le moral