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Etape 12 - Le Tour, du Béarn à la Bigorre

Le 12 Juil. 2017

Après une halte dans sa ville natale, Henri IV reprend son long périple dédié à la Petite Reine : direction Tarbes et Peyragudes sur les traces de Bond 007

Cette année, la Grande Boucle ne passe qu’une journée dans les cols pyrénéens, béarnais et bigourdans, et boudera – ce qui est rare – le mythique Tourmalet.


Trois cols sont au menu : Menté (1.349 m), Port de Balès (1.755 m) et Peyresourde (1.569 m).

Cette étape sera l’occasion de célébrer le 20e anniversaire du tournage du film de James Bond, « Tomorrow never dies ». C’est à l’altiport de Peyragudes qu’avait été tournée une des scènes les plus extravagantes : 007 fuyant un missile à bord d’un avion de chasse.


Le peloton prendra le départ depuis la gare de Pau et le stade Tissié (11h), passera sur la fresque géante réalisée par les étudiants de l’ESAP (voir note article) avant de prendre la direction de Soumoulou (11h20) et du plateau de Ger (11h40).

Ce sera ensuite la descente vers Ibos, puis la traversée de Tarbes (11h50), avec passage au centre-ville : rue du Corps-Franc-Pommiès, Georges-Lassalle, place de Verdun, cours Gambetta, allées du Général-Leclerc, rue de Cronstadt, place Ferré, chemin de l’Ormeau, avenue d’Altenkirchen… De nombreuses animations sont prévues toute la journée, place de Verdun.


Les coureurs rejoindront ensuite Laloubère et la côte de Piétat vers Tournay (12h20). Au menu aussi, la côte de Capvern et Barousse, avant la haute montagne et le col de Menté (15h10), le Port de Balès (16h40), le col de Peyresourde (17h15) et Peyragudes (17h25). Près de 10.000 personnes sont attendues dans ce final pyrénéen.


 

Le seul altiport de la chaîne pyrénéenne…

Le Tour offrira un coup de projecteur à cet aérodrome de montagne, dessiné sur une forte pente, où les avions choisissent la montée pour se poser et la descente pour décoller. Atterrir sur une pente entre 15 et 17% est particulièrement délicat.
Impressionnant !

Cette piste de Peyresourde-Balestas a été créée en 1971 à 1.520 m d’altitude par Léon Elissalde, père de l’Association des pilotes pyrénéens de montagne.


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