C’est la rentrée, les petits et les grands s’y préparent, alors il est temps d’entamer les révisions et de vérifier si les bases sont bien maîtrisées… Aujourd’hui, sciences très naturelles. On récquépépétte ?
Le cerveau encore embrumé par des semaines de mojito, de plage, et de barbecue, le neurone plus habitué à feuilleter Voici qu’à bûcher, on va attaquer facile…
Le chien aboie, le cheval hennit,
(jusque là, ça va…)
Beugle le boeuf et meugle la vache,
Gazouille l’hirondelle,
Roucoule la colombe,
Tandis que le pinson ramage (ah, ah, ça commence à coincer, pas vrai ?)
Le moineau piaille,
L’oie criaille,
Le dindon glousse,
Mais si la grenouille coasse, le corbeau lui, croasse !
Jacasse la pie,
Le tigre est un gros matou qui miaule aussi,
Et l’éléphant barrit…
L’âne braie, mais le cerf rait… (pas la peine de vous ruer sur Wikimachin, c’est déjà fait !)
Et le mouton ? Il bêle, il bêle, évidemment…
Tandis que bourdonne l’abeille,
Et que la biche brame quand le loup hurle…
Ça y est, vous êtes chauds ? Alors on passe à la vitesse supérieure…
Le canard nasille, mais au pluriel, les canards nasillardent (ce qu’ignorait apparemment le correcteur d’orthographe de Windows qui voit rouge, à tort, gros naze !!! À tort…)
Le bouc et la chèvre chevrotent tous deux,
Le hibou hulule, la chouette chuinte,
Le paon braille,
Et l’aigle ? Il trompète, bien sûr (satané correcteur d’orthographe, je te DIS QU’IL TROMPETE, arrête de rougir comme un fou !)
La tourterelle, comme le ramier, roucoule,
La bécasse croule,
La perdrix cacabe,
La cigogne craquette,
La corneille corbine
Et le lapin glapit quand le lièvre vagit…
Quoi, facile ? Ah ouais ? Mfff… Tu savais pas, et puis c’est tout, j’en parie mon billet (d’humeur)… Et puisque tu es si fort, et fais ton mariole, peux-tu me dire ce que fait l’alouette ? Non, elle ne se plume pas, elle grisolle. Tandis que le pivert picasse, au grand dam du correcteur orthographique, toujours aussi inculte !
Ok, le sanglier grommelle, le chameau blatère (et c’est à cause de lui qu’on déblatère ! Ce qui est aussi le cri de la Hastoy bio élevée en liberté, c’est pas faux…)
Mais la huppe, elle, pupule (en rouge chez mon correcteur, qui ne connaît apparemment pas la chanson “viens pupule, viens pupule, viens…”).
La petite souris grise chicote (c’est certainement parce qu’on lui glisse nos chicots sous l’oreiller !) et le geai cajole…
Franchement, c’eut été dommage d’entamer la rentrée sans cette très jolie et poétique révision, non ?
Enfin bon, moi je dis ça, je dis rien…
Gracianne Hastoy
L’âne braie… non, l’âne brait?
Bonjour Maryvonne,
Et non il y a un piège, l’âne braie, petite exception juste pour lui !