Non, on ne vous racontera pas les règles du jeu, ni ne vous dissèquerons les trois phases de la compète, les séries, masters et grand slam. Un peu compliqué, tout ça, de même que la répartition voulant que les vainqueurs des séries soient ensuite placés dans des équipes différentes.

Ou que la répartition des points (I victoire en 2 manches = 3 pts – En 3 manches = 2 pts – 1 défaite en 3 manches = 1 pt et 1 défaite en 2 manches = nada. On se contentera d’annoncer que la finale se déroulera le 30 août, opposant les quatre meilleurs avants et les quatre meilleurs arrières. Ouf !

C’est dans un fronton du Jaï Alaï refait à neuf, gradins, second mur de frappe et intégralité du sol, pour un montant d’1 million d’euros TTC, que les pelotaris vont s’affronter, dans une ambiance familiale survoltée. Avec à chaque soirée, à 20h45 un match opposant les espoirs, que suivront des chanteurs basques, qui vous feront patienter durant l’échauffement des professionnels, et enfin l’entrée des gladiateurs, enfin des joueurs professionnels, pour une heure de spectacle.

Les pelotes envoyées atteignent des vitesses allant jusqu’à 300 km/h, ricochant sur les murs du côté et parfois du fond. Impressionnant, vraiment. Naturellement, on ne perdra pas de vue Éric Irastorza, qui a déjà remporté l’épreuve à 9 reprises.

Ah, on allait oublier, les tarifs : de 13 à 18 euros pour les adultes, 9 pour les étudiants et les enfants de plus de dix ans, gratuit pour les moins de dix ans.

Bonnes soirées pelote à tous !

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