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Des affiches bien traditionnelles pour les Fêtes

Le 16 Fév. 2018

Bayonne : le nom des finalistes du concours vient d’être dévoilé. Ils sont 5 sélectionnés parmi 207 prétendants. Il ne vous reste plus qu’à voter !

Leurs propositions sont désormais visibles au Musée basque. Première impression : pour une révolution graphique, ce sera pour une autre fois.


Sans doute les codes imposés pour l’exercice ont-ils été perçus comme des carcans, mais les œuvres qui sont présentées pour illustrer les Fêtes de juillet prochain paraissent être fortement imprégnées des années précédentes, avec les sempiternels foulards, toros, rouge et blanc, Léon et lauburu (la croix basque).

D’un autre côté, il était évidant qu’on n’allait pas mettre une choucroute garnie ou des éléphants, mais un peu d’originalité, de transcendance, auraient peut-être été les bienvenus…

 


Mais il va falloir faire avec, et on va s’y faire, bien sûr. Alors présentons les prétendants.

Avec tout d’abord la proposition d’Aurore Brunet (ci-contre) représentant un foulard en forme de toro. Rouge, le toro.

Suit le visuel de Claude Davancens (battu sur le fil l’an dernier avec son excellent serveur portant les fêtes sur un plateau) avec cette fois sur fond jaune un couple, remarquablement stylisé, en train de danser (ci-dessus).

 

 


Gwladys Esnault tranche avec un fond bleu, et ose un lauburu représentant des personnages (ci-contre).

Tandis que Perrine Honoré fait dans le style naïf avec les personnages essentiels de la fête, le roi Léon, le toro, les festayre en train de danser (ci-dessous).

 


Enfin Flora Roliers joue sur la foule, la densité, la vachette, la cour du roi Léon et le rouge & blanc.

Vous vous êtes fait une opinion ? Alors à vous de voter, soit en vous rendant salle Xokoa du Musée basque (jusqu’au 25 février), soit par Internet sur le site bayonne.fr.

 

 


Comme pour le concours de miss France, votre vote comptera pour la moitié de la note finale, l’autre 50 % étant de la compétence de la commission extra-municipale. Résultat des courses le 27 février.

Et qu’on n’oublie pas le mot de Danton : « De l‘audace, encore de l’audace, toujours de l’audace ! » Ainsi soit-il !

 

 

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