Pâques approche, mauvais temps pour l’agneau ! Mais joli temps pour ses éleveurs. Sans parler des consommateurs !
Et comme le plaisir n’est total que si le produit est bon, jetons un oeil sur l’Agneau des Pyrénées…
Sur son site, sont données cinq bonnes raison de le consommer : des éleveurs passionnés continuant de pratiquer la transhumance, des pâturages d’altitude avec une herbe saine, naturelle, variée, un goût inimitable grâce notamment à l’alimentation en estive, le respect d’un cahier des charges contrôlé et respecté par tous les acteurs de la filière, et le maintien de la biodiversité, avec un élevage qui respecte l’environnement, contribue au maintien de la biodiversité animale et l’entretien des grands espaces.
Plusieurs races constituent la filière : la Tarasconaise, rustique et venue de l’Ariège ; la Montagne noire, reconnue officiellement en 2006 à peine ; L’Aure et Campan, la montagnarde, marcheuse et résistante ; la Castillonaise également connue sous le nom de “Tête rouge”, peu exigeante et maternelle à souhait ; la Lourdaise dont la rusticité n’est plus à présenter, tout comme la Barègeoise, de haute montagne, maternelle, marcheuse et résistante.
La bonne nouvelle est au bout du sentier, puisque le projet d’IGP (indication géographique protégée) est en cours pour l’Agneau des Pyrénées.
Mais c’est encore dans l’assiette que vous succomberez le plus à cet agneau. Traditionnel ou plus original, l’agneau va bien au tajine, au navarin, ou en sauté d’agneau aux asperges (cliquez ici), il y a moyen d’épater vos invités au repas pascal… Surtout grâce aux recettes proposées par le site de l’Agneau des Pyrénées.
S’il était évidemment présent au Salon de l’agriculture parisien, l’Agneau des Pyrénées sera aussi au Salon de Tarbes ce 10 mars dès 9 heures. Ici, on ne dira plus “doux comme un agneau”, mais “savoureux comme un agneau”…