GSO-Tech, réseau Grand Sud-Ouest des Centrales de Technologie. Un peu abscons ? C’est qu’on ne rigole pas avec les nanotechnologies ! En fait il s’agit du regroupement de six laboratoires et d’un centre de formation, pour concentrer la recherche et la formation, s’ouvrir aux acteurs académiques et industriels du Grand Sud-Ouest.
Ce qu’il faut savoir…
Son potentiel apparaît d’emblée unique au niveau du développement de la recherche fondamentale et de l’innovation. L’application dans les domaines des micro et nano systèmes embarqués, autonomes, communicants s’adressera bien évidemment aux secteurs du transport, aéronautique ou automobile, à la santé (médical et alimentation) et à l’environnement (qualité de l’eau, de l’air, agriculture).
On trouvera donc à Toulouse le laboratoire d’analyse et d’architecture des systèmes (Laas-Cnrs), et la plateforme Renatech, ainsi qu’une plateforme 3D Power Hybrid Integratin (3DPHI) hébergée par le Laboratoire Plasma et conversion d’énergie (Laplace – Cnrs – Inp – Université Toulouse III – Paul Sabatier), un centre d’élaboration de matériaux et d’études structurales (Cemes-Cnrs) et un atelier interuniversitaire de micro et nano-électronique (Aime – INP Toulouse – Insa Toulouse – Université Toulouse III – Paul Sabatier).
Sur Bordeaux, ce sera le laboratoire de l’intégration, du matériau au système (Ims – Cnrs – Université de Bordeaux – INP Bordeaux). A Limoges, l’institut de recherche XLIM (Cnrs – Université de Limoges – Université de Poitiers), et à Montpellier, l’institut d’électronique et des systèmes (IES – Cnrs – Université Montpellier 2).
Abscons pour le néophyte ? Peut-être, mais bougrement utile, vous verrez…