S’il faut ici une bonne connaissance de la haute montagne, et ne pas jouer d’imprudence (toujours fatale), il faut dire que côté freeride, c’est du pur bonheur. Les deux tronçons du téléphérique du Pic du Midi ouvrent sur un domaine non surveillé, non aménagé et non balisé.

Du bonheur en perspective pour ceux qui aiment les sensations, le silence, et la glisse, of course.

Le sommet, à 2877 mètres, permet deux descentes, versant La Mongie jusqu’à Artigues-Campan, un dénivelé de 1.700 mètres pour 10 kilomètres de descente ; et un versant Barèges jusqu’au télésiège du Tourmalet.

Membre du réseau N’py, le Pic du Midi est compris dans les forfaits, y compris illimités, comme celui à 59 euros la journée, “Grand Tourmalet-Pic du Midi, et également possible en séjour six jours et davantage ou cartes saison.

Pour les freeriders, deux sites incontournables : freeride.picdumidi.com ou l’officiel du Pic : www.picdumidi.com

En revanche, attention, après le succès des deux nuits étoilées de février, et le concert de Christophe Willem, samedi, il ne reste plus qu’une nuit étoilée à vous mettre sous la… dent. Il faut absolument réserver, d’autant que le nombre de places est limité à 100 personnes.

Donc, vite pour profiter de la dernière de ces vacances de février, le 25. Au programme, montée en téléphérique, visite du site, coucher de soleil, dîner (avec confit de canard, siouplait), découverte des constellations et descente en téléphérique vers 22 heures.

Alors, un peu plus près des étoiles ?