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Groupe Euralis à Lescar

Le 28 Jan. 2015

Le foie gras au sommet de ses goûts : Montfort, ça va fort !

Allez, on avoue, on ne s’est pas foulés pour le titre de cet article. Car les chiffres sont là qui donnent la banane au groupe coopératif béarnais Euralis, porteur de la marque grand public Montfort.

Cette année encore, et pour la seconde fois consécutive, sur le marché du foie gras, Montfort arrive en deuxième position, juste derrière son grand rival et leader, Labeyrie. Mais devant Delpeyrat qui n’a pas fait, du moins dans le foie gras, sa meilleure année.

Un secteur où, en un an, le chiffre d’affaires d’Euralis a augmenté de 7,3%. Tandis que Rougié, sa marque à l’international, gagne à l’export 2%. Merci la Chine.

Ce qu’il faut savoir…


montfort3Avec une progression spectaculaire de 12,8% en volume, la marque Montfort confirme son ambition sur le marché du foie gras.

Ceci grâce à une approche très innovante et créative, centrée sur le goût.


montfort2Tapie« Nous avons symbolisé chacun des goûts proposés, du plus authentique au plus raffiné, par un repère de couleur. Guidés dans leur choix, les consommateurs achètent le foie gras qui leur correspond » précise Alain Tapie, directeur général du Pôle Alimentaire

Et les résultats sont au rendez-vous. « Sur le segment clé du foie gras mi-cuit vendu au rayon Frais, Montfort réalise cette saison une progression record de +33 %. Notre part de marché gagne trois points, à 13,6% ».

 


PL foiegrassurpattesLaberdesqueUn succès qui profite à l’ensemble du groupe coopératif basé à Lescar, « et particulièrement à nos adhérents éleveurs de canard gras et aux collaborateurs du Pôle qui voient leurs efforts récompensés. J’y vois un signe de la capacité d’Euralis et du Pôle Alimentaire à proposer à ses partenaires distributeurs une offre innovante et de grande qualité » ajoute le vice-président, Claude Laberdesque.

 


PL EURALIS LOGODans l’ensemble, c’est tout le Pôle Alimentaire d’Euralis qui est en hausse, avec un chiffre d’affaires global en augmentation de 1,3% soit 493 millions d’euros, signe d’une diversification réussie.

 


montfort1Côté marque, Qualité traiteur enregistre un grand bond en avant, avec une progression sur quatre ans de l’ordre de 22%.

Le « pompon » étant rapporté par la marque traiteur Jean Stalaven, de plus en plus présent dans les saladeries, sandwicheries et autres services traiteur de proximité, où l’activité augmente de 50% en un an. Y a bon jambon !

 


PL MAIS 6En revanche, là où notre titre n’est plus raccord, c’est au moment d’évoquer le Pôle Agricole, lui toujours dans la grisaille. La faute à la pluie. Et à la baisse du prix des céréales. De son côté, le Pôle Semences va bien, avec une progression de chiffre d’affaires à 2%.

Donc, on confirme : ça va fort pour Montfort. Et que Labeyrie et Delpeyrat continuent de se disputer le marché, notamment prisé du “tarama”, tandis que Montfort poursuit ses efforts (cette rime n’est pas volontaire !) sur la proposition d’une gamme agroalimentaire de qualité, portée par des producteurs locaux vigilants.

Informations et recettes sur le site Internet de Monfort

 

 


 

 


 

 

8 commentaires au sujet de cet article

  1. Euralis, comme d’autres grands groupes d’agroalimentaire de la région, est un exemple. Il ne faut pas oublier de saluer les hommes qui ont construit ces entreprises. J’ai connu Hubert Buchou. Il est de ceux-là, et il a formé avec Bonnemaison un tandem exceptionnel voire même explosif. Aujourd’hui, Christian Pées est dans la lignée de ces agriculteurs bâtisseurs. Bravo, il n’y a rien d’autre à dire

  2. Tout à fait d’accord, comme partout ce sont les hommes (et les femmes bien entendu)qui font (ou ne font pas) les entreprises, leur réussite. Ils apportent la compétence mais aussi une âme et une dimension humaine qui est le ciment de la réussite. Ceci dit, je ne suis pas fan du foie gras. Donc mon commentaire est d’autant plus désintéressé.

    1. Nous ne publions pas des commentaires qui nous paraissent contraires à la ligne éditoriale de notre média. De même, nous ne publions pas des attaques excessives contre tel ou tel, ni des textes diffamatoires ou volontairement polémiques.

      Ce qui ne signifie pas que vous n’avez “le droit de ne dire que du bien”. Il suffit de lire les commentaires qui ont été validés sur les autres articles.

  3. J’approuve votre volonté d’éviter les polémiques et surtout de mettre en valeur ceux qui font avancer les choses, qui créent des emplois, qui se dévouent sur le plan social et dans la solidarité, etc.

    Laissons aux autre médias et aux autres sites Internet la polémique stérile, les critiques systématiques, les sous-entendus, les scandales… Si je vous lis tous les jours, c’est justement parce que vous ne faites pas comme les autres. C’est un plaisir.

  4. Marie José tu as entièrement raison. Je rajouterai qu’il y en a marre de laisser la parole à ceux qui ne font que critiquer et caricaturer les entreprises, surtout les grosses. Les milliers de personnes qui vivent grâce à ces grands groupes comme Euralis ne méritent pas non plus qu’on jette ainsi le doute sur la qualité de leur travail.

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