Vous en avez assez des vols réguliers, de l’attente dans ce hall froid et anonyme, de la queue aux files d’attente, des éternelles cacahouètes offertes ? Eh bien, sortez du rang, et osez le jet privé !
C’est le moment car contrairement à une idée reçue, il est possible de réaliser des affaires en payant à petit prix ce qui était jusqu’alors réservé aux millionnaires.
Ce qu’il faut savoir…
Bon, d’accord, ce n’est tout de même pas donné, mais pour un trajet TOL (Tarbes-Ossun-Lourdes)–Paris, on est loin des 30.000 euros affichés par certains loueurs, puisque la principale compagnie privée quoique partenaire d’Air France, Wijet ne facture que 2.400 euros TTC l’heure de vol effectuée.
Avec la possibilité de se déplacer vers plus de 1.200 aéroports, et sans option, du champagne Veuve Cliquot, Coca, Perrier, Evian (mais pas Ogeu, hélas), petits snacks salés et sucrés concoctés par Pierre Hermé, un téléphone satellite façon « Esprits criminels » et la presse du jour et du mois, tant en version papier que sur ipad.
Wijet n’est pas seule sur ce marché. Citons aussi pour faire bonne mesure Lunajets, Globeair ou Elle Jet Aviation Services.
Il existe même des ventes de sièges (en cuir) vacants sur les « empty legs », lors de voyages à vide (qui concernent 40 % des vols) pour ramener l’avion sur Paris ou ailleurs, pour un prix très raisonnable, un peu comme ces étudiants qui se font payer pour rapatrier les voitures de location.
Si cette aubaine vous tente, filez sur le site de la start up Cojetage. Les bonnes affaires de la semaine y sont annoncées, concernant 30 à 40 destinations tant vers l’Europe que les États-Unis. Avec des vols qui commencent à 600 euros.
Comme quoi on n’est pas forcé d’être riche pour vivre comme un riche. Bon voyage !