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Coup de pub à Grenoble

Le 26 Nov. 2014

En fait, c’est un Palois qui fait l’événement depuis les Alpes

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À croire qu’à Grenoble, ce sont les Béarnais qui règnent en maîtres. Pardon ? Vous n’auriez pas abusé quelque peu se substances dévastatrices ? Eh non !

Et on le prouve : l’ancien maire, Hubert Dubedout a été élevé à Pau et y a effectué ses études au lycée Louis Barthou. Tout comme, cinquante ans plus tard, le nouveau, Eric Piolle, seul maire EELV élu d’une ville de plus de 160.000 habitants.

Ce qu’il faut savoir…

GRENOBLE PUBCe n’est pas pour son origine béarnaise que le nouvel élu vient de faire parler de lui, mais pour sa décision de supprimer les 326 panneaux publicitaires implantés à Grenoble, ce qui de facto supprimera 2.000 m2 de surface publicitaire et engendrera pour la ville une perte sèche de 600.000 euros de redevance annuelle.

À leur place, on plantera dès le printemps prochain une cinquantaine d’arbres, on est écolo ou pas. Les abribus en revanche ne seront pas touchés pour l’instant, leur contrat s’étendant jusqu’en 2019.

 


grenoble1Rigidité idéologique, assurément, mais libération aussi pour les habitants tant la publicité devient agressive et envahissante.

D’ailleurs, Grenoble ne sera pas la seule ville impactée par une diminution visible de la pub, car la loi Grenelle 2 entrera en vigueur en juillet prochain, avec à la clef une diminution, voire carrément une suppression de certains panneaux qui enlaidissent nos cités davantage qu’elles ne renseignent le passant ou le consommateur.

 


PANNEAUX PUBLICITAIRES 2Après quoi, on pourra s’attaquer aux  enseignes en tout genre qui ont défiguré les banlieues périphériques. Mais ça, c’est une autre histoire.

5 commentaires au sujet de cet article

    1. Pour rependre les termes de l article, on pourraient dire aussi que vos bandeaux publicitaire aussi enlaidissent vos articles…..
      Les organes de presses , dont le votre relayent cette information de manière très subjective car c est l occasion de déconsidérer un concurrent sur le marché publicitaire.
      La realité c’est que les Grenoblois vont sans doute vite regretter cette decision purement politique . Il vont devoir se passer des 650 000€ par an de redevance , les mobiliers publicitaires qui sont servent aussi d information pour la culture et les évènements vont être remplacés par d autres mobiliers , cette fois ci à l entière charge des contribuables… et Ce ne sera pas la disparition de la pub car il y aura toujours des panneaux sur le domaine privé et du coup peut être davantage mais au final des emplois chez le prestataire évincé en moins…

  1. Et oui, on rêve d’un dauphinois ou d’un savoyard (ou d’un parisien)qui viendrait nettoyer notre bèth cèu de toute cette pollution d’affichage. Les béarnais sont ils meilleurs à l’extérieur? Sans doute, regardez H IV de France, il a rebati un Paris grandiose en laissant le Béarn dans la misère. Et il nous a donné un fils L XIII (le plus triste de tous les Sires)qui est venu avec une armée nous dire de nous taire, et ça marche toujours on se couche devant le pouvoir parisien et on AFFICHE notre soumission.

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