En janvier dernier, Hélianthal était racheté par Thalazur, qui envisageait alors de gros travaux, option pharaoniques. On parlait alors de 10 à 13 millions d’investissements, histoire de redorer le blason de cet ancien établissement luzien, créé en 1989.
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Seulement voilà, ça s’appelle soit avoir les yeux plus gros que le ventre à sous, soit mettre la charrue avant les oeufs (et qui vole un oeuf, vole un boeuf, donc ça revient au même !). Trêve de plaisanterie, il faudra seulement attendre encore un peu.
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Ce qu’il faut savoir…
Entre la tuyauterie pour refaire la thalasso, la rénovation des chambres, la réception à revoir, c’est pendant presque un an qu’il faut fermer l’établissement. Au moins dix mois, ce qui s’annonce compliqué.
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À la fois pour le personnel employé, qui représente une bonne centaine de personnes, et pour les touristes qui y sont hébergés et représentent une vraie manne économique.
D’autant que voilà, comme un pépin ne vient jamais seul, le Grand Hôtel ayant subi son important incendie à l’hiver dernier, il faut bien un lieu où se rabattre sur la cité des Corsaires.
Et quel meilleur endroit prestigieux que Thalazur pour assurer la compensation ? Comme quoi, le malheur des uns, bla bla bla…
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Donc sagesse oblige, on repousse les grands ouvrages à 2016, et d’ici là, les touristes seront accueillis tout à fait normalement.
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Un délai qui permettra à la structure de parfaitement anticiper son grand chamboulement, de former son personnel, bref, de tout prévoir avec minutie, dans les atouts qui font la réputation des grands établissements.