Liposthey, dans les Landes. Une famille, et quelle famille ! Chez Larrère, tout le monde a une mission bien définie : les parents, Bertrand et Raymonde, fondateurs du groupe, les trois fils : José, travaux agricoles et production, puis Philippe à l’agronomie, et Patrick au développement commercial et marketing.
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Et les trois belles-filles, associées à la culture, la comptabilité ou les ressources humaines. Puis les petits-enfants, Julien côté production, Sylvain à la gestion ou Eddie à l’agronomie et bioénergie. Bonne pioche !
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Ce qu’il faut savoir…
Sans compter que la famille Larrère donne du travail à 150 familles locales. Et produit grâce aux déchets de ses légumes une énergie électrique capable de couvrir les besoins de 450 foyers.
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On est ravis d’apprendre que la carotte ne fait pas que rendre aimable, ni ne sert qu’à rosir les fessiers, ni seulement à nourrir les Bugs Bunny de la planète, mais qu’elle peut aussi devenir l’énergie de l’avenir.
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Mais qui est donc cette famille formidable ? Des producteurs engagés, résolument bio, dont le slogan est : voir loin, produire durable, rester fidèles à nos valeurs.
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Avec 1.300 hectares répartis sur 9 fermes et quelque 8.000 m2 de panneaux photovoltaïques.
Et cerise sur le pompon, une unité de bio-méthanisation opérationnelle depuis 2013.
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Sachez qu’en consultant leur site internet, parfaitement au point, vous pourrez aussi rejoindre l’équipe Larrère, car des offres d’emploi sont régulièrement mises en ligne.
C’est sur www.groupe-larrere.com
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On notera au passage que la famille pense renouvelable, bio mais aussi solidaire, lançant des opérations ponctuelles du genre “un panier bio acheté = 1 kg de légumes offerts à la Banque alimentaire”.
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Ah et c’est encore chez Larrère que vous pourrez faire la connaissance d’un tout nouveau légume, ni chou ni salade, venu du Japon, le “Choudou”. Eh oui !
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Bref, rien à dire, et le modèle est certainement celui de demain, dont on espère que les graines vont s’essaimer rapidement et devenir la règle préalable à toute démarche agricole.
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La carotte ou le bâton ? Chez Larrère, on a choisi, c’est la carotte !
Bon, je cours acheter des carottes
Formidable exemple d’une agriculture qui crée beaucoup plus de richesses et d’emplois que la pauvre forêt landaise tout en utilisant moins d’eau que les arbres malgré l’irrigation.
Les marginaux qui manifestent à Sivens devraient visiter la ferme Larrère, cela les ferait probablement réfléchir…