Eurolacq 2. “Un grand projet, très ambitieux, très coûteux”, peut-on entendre du côté de la Communauté de communes de Lacq-Orthez, présidée par Jean Cassiau-Haurie (photo ci-dessous). En effet, huit ans et huit millions plus tard, la commercialisation des lots est enfin lancée.
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Étendue sur 29 hectares, dont plus de 19 sont commercialisables, Eurolacq 2 se veut comme une alternative à Eurolacq 1, déjà à plein régime.
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Ce qu’il faut savoir…
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Un cahier des charges strict y est mis en application, où les espaces verts devront être conservés, avec une unité architecturale et paysagère respectée, où l’on bénéficiera aussi d’emblée de la fibre optique et du gaz.
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Ici, on trouvera donc des entreprises commerciales, artisanales et industrielles. Avec d’ores et déjà l’annonce de la construction d’une grande surface commerciale.
Un bon moyen de lutter contre Lescar et sa tentation pour les habitants de la zone. D’ancrer les populations sur leur lieu de vie.
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Les demandes commencent d’ores et déjà à affluer, et l’on sait qu’une douzaine de candidats lorgnent sur les petits lots, et trois pour les grands lots, dont la fameuse grande surface.
Entre 28 et 65 euros HT le mètre carré, c’est franchement abordable et attractif. Surtout avec la proximité de l’autoroute qui est un plus pour garantir le ravitaillement et les échanges commerciaux facilités.
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De quoi assurer des lendemains économiques qui chantent pour la région, tout en jouant la carte de la diversification.
Alors s’il faut souffrir pour être beau, il fallait peut-être attendre – et payer – pour l’assurance d’un Eurolacq 2 à la hauteur de ses ambitions.
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Désormais, ne reste plus qu’à voir le bébé se développer en bonne santé.