Du côté de Biarritz où l’année 2014 avait plutôt bien commencé, notamment grâce à l’ouverture des lignes vers Helsinki, Stockholm ou Copenhague, badaboum, la grève plombe les résultats.
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C’est que, du 15 au 30 septembre, l’aéroport s’est retrouvé avec 96 vols annulés, d’où 18.000 voyageurs perdus (et certainement pas très contents), et donc de 250.000 à 300.000 euros de recettes disparues en même temps.
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Or, ç’aurait pu être pire, sans les avions de la compagnie Hop. Celle qui n’avait pas fait que des heureux en atterrissant à Biarritz, a finalement permis de maintenir la moitié du trafic Air France.
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Reste désormais à espérer que 2015 sera une meilleure année. Une promesse porteuse d’optimisme : à partir d’avril, Volotéa devrait assurer deux à trois vols hebdomadaires de Biarritz vers Lille. Mais personne ne sait si les vols à destination de Marseille reviendront avec les beaux jours.

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Encore trop d’incertitudes donc, d’autant qu’il est un point que l’on mesure encore mal : à quel point l’agacement ressenti par les usagers d’Air France face à cette grève subie, va-t-il rejaillir sur leurs comportements d’achats de billets et de vols futurs ?
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Cela pourrait être la méchante cerise sur un gâteau considérablement empoisonné…