Mais pas la peine de postuler si vous êtes du genre à appeler “pintxo” une pauvre tartine grillée surmontée d’une rondelle d’oeuf dur, car le niveau va être très, très élevé.
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Avertissement donné par un jury émérite, de Eric Ospital à Yves Camdeborde, le vainqueur 2012 Fabrice Idiart ou le chef pâtissier de chez Pariès, Alexandre Seynaeve.
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Quant aux concourants, ils sont tout aussi fameux, venant des restaurants les plus prestigieux du coin : l’Impertinent à Biarritz, le Zoko Moko de Saint-Jean-de-Luz ou le Briketenia de Guéthary.
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En tout une dizaine de concurrents, avec des consignes strictes : 10 minutes de préparation, un long travail de réflexion en amont, un pintxo qui se déguste en deux ou trois bouchées, de l’esthétique, de l’originalité, de la technique, de la présentation et l’interdiction de dépasser les 2 euros de produits de fabrication par pintxo.
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Comme il n’y en aura pas pour toutes les bouches, même si des écrans permettront de suivre la préparation des “gourmandises”, mais que la dégustation ne sera pas assurée, une dizaine de bodegas seront installées aux Halles, avec pintxos et verres à tarif unique.
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C’est qu’il va bien falloir compenser la gourmandise éveillée par tous ces chefs aux pintxos ! Il va faire faim dans la Cité des Corsaires ce samedi, on vous le garantit.