Fondé en 2016 par Renaud Seligmann et David Rivoire, le concept veut permettre de mieux lutter contre l’isolement social en facilitant les rencontres entre des personnes de tous les horizons. Depuis sa création, environ 3.000 personnes se sont réunies dans le premier Social Bar, à Paris, dont des demandeurs d’emploi, des personnes handicapées, des migrants et des sans-abris, en plus de travailleurs et de particuliers.

« Le Social Bar s’impose non seulement comme un lieu chaleureux de rencontre, d’échange, de fête, mais aussi comme un lieu d’entraide, de sororité et fraternité », expliquent les fondateurs. « Cette lutte contre les exclusions et l’isolement social, nous y contribuons directement en imaginant des activités afin que des gens qui ne se connaissent pas osent se parler, sympathiser et faire la fête ensemble ».

Après le premier à Paris, et deux suivants à Strasbourg et Saint-Ouen, c’est au tour de Biarritz d’accueillir ce concept, dans le quartier intergénérationnel et dynamique des Docks. « C’est Camille Attias, biarrote dans l’âme, qui sera aux commandes du projet. Ce lieu sera écoresponsable et bilingue, puisque nous y parlerons français et basque ».

S’il aboutit, ce projet devrait voir la création de six emplois, qui seront consolidés sur l’année suivant l’ouverture. Durant cette même période, l’établissement visera une progression significative pour basculer vers une activité rentable, notamment en organisant près de 60 soirées solidaires.

Mais pour ce faire, il faut que l’initiative récolte 400.000 euros avant le 20 septembre prochain, date de la clôture de la levée de fonds citoyenne proposée sur la plateforme LITA.co. « La levée de fonds permettra de financer le rachat du fonds de commerce, les travaux et le lancement des opérations Par ailleurs, les investisseurs deviendront aussi co-patrons du Social Bar Biarritz ! »

Ainsi, les investisseurs bénéficieront d’avantages, comme par exemple la possibilité de passer derrière le bar.

Si l’on peut vous donner une dernière bonne raison de soutenir ce projet, c’est son implication sur le territoire. En effet, au travers de son bar parisien, la structure est en partenariat avec une cinquantaine d’associations solidaires.

Un affect pour les associations qui se traduit aussi au Pays basque, avec la promesse de reverser 15% des bénéfices du Social Bar à des associations d’utilités publiques locales.

« Nous souhaitons nous positionner comme une plaque tournante de l’économie sociale et solidaire au Pays basque Nord, en encourageant le développement et la promotion des producteurs et productrices du territoire basque », concluent les dirigeants.

Pour rejoindre ce projet, il suffit de vous rendre sur la page LITA.co dédiée – cliquez ici

Plus d’informations sur le site internet du Social Bar