Propriété du groupe General Mills au même titre que les marques Yoplait, Häagen-Dazs et Old El Paso, Géant Vert assure depuis 1977 sa production européenne de conserves de maïs dans son usine de Labatut, la Seretram. L’implantation landaise, qui fonctionne en partenariat avec la coopérative Euralis, est aujourd’hui la première conserverie de maïs doux du Vieux Continent. « Elle exporte 80% de sa production dans plus de 25 pays », indique General Mills. L’usine produit pas moins de 250 millions de conserves par an.

Euralis, qui accompagne la célèbre marque dans sa stratégie RSE, vient d’annoncer plusieurs projets innovants menés en commun. D’abord, depuis l’an dernier, la coopérative œuvre de concert avec la Seretram à l’optimisation des pratiques d’irrigation du maïs doux « pour une utilisation de l’eau au bon moment, au bon endroit et à la bonne dose. Ce projet a recours à l’imagerie satellite pour confronter la variabilité du développement des plantes avec la réserve utile du sol ».

Une évaluation encourageante…

Ensuite, deux autres initiatives ont été lancées en lien avec la gamme Géant Vert de maïs doux extra-croquant. La première consiste en l’apposition d’un QR code sur les boîtes de conserve : par un simple scan, les consommateurs peuvent connaître avec précision la zone de production et la date de récolte du maïs qu’elles contiennent. « En France, Géant Vert est la seule marque de sa catégorie qui offre une telle transparence au consommateur », affirme Euralis.

Quant à la seconde initiative, il s’agit de la garantie « sans résidu de pesticides » pour toute ladite gamme, « rendue possible par l’attention particulière portée par les producteurs Euralis à leurs pratiques agricoles et par la mise en place d’un processus de tests rigoureux qui valide et garantit aux consommateurs l’absence de résidu de pesticides (dans la limite de la quantification) ». En parallèle, la marque devrait aussi continuer de communiquer sur la filière de production locale.

Pour finir, on ajoutera qu’avec Géant Vert, Euralis s’est lancé dans la démarche d’évaluation de la durabilité des exploitations agricoles (Farm Sustainability Assessment – FSA) de la plateforme SAI (Sustainable Agriculture Initiative), qui réunit aujourd’hui 130 membres, grandes marques et entreprises de l’agroalimentaire. La filière légumes d’Euralis aurait déjà obtenu une « équivalence argent », qui consacre le niveau déjà avancé des pratiques agricoles, ici évaluées à partir d’une série de questions précises. Plus qu’à partir à la conquête de l’or, qui ira très bien avec la couleur du maïs d’ici !

« L’implication de la coopérative dans tous ces projets illustre la volonté d’accompagner les producteurs vers une agriculture durable et une alimentation de qualité », conclut Euralis, qui rappelle une fois de plus son choix ambitieux d’opter pour le conseil dans le cadre de la loi Egalim.

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Notre article de 2017 sur les 40 ans de la Seretram – c’est ici