Contre l’avis du ministre de l’Education nationale, les députés ont notamment ouvert la possibilité d’un enseignement dit « immersif ».
Parmi les dispositions nouvelles, cet enseignement effectué en langue régionale pour la plus grande partie du temps scolaire, constitue une reconnaissance forte.
A noter aussi la création d’un « forfait communal » pour les écoles associatives ou catholiques sous contrat. Les communes devront prévoir une participation financière de ces établissements, dans la mesure où elles ne disposent pas déjà d’une école bilingue ou immersive.
Une bonne nouvelle pour la démocratie, mais ce n’est pas encore la nécessaire reconnaissance officielle promise à Pau par Emmanuel Macron lors de la campagne électorale des présidentielles.